Rome, ville ouverte
Pendant l’occupation de Rome par les troupes allemandes, trois personnages tentent tant bien que mal de mener leur barque : le résistant Giorgio Manfredi, le curé Don Pietro Pellegrini et la veuve Pina, mère d’un petit garçon et sur le point de se remarier. Tout trois vont croiser le chemin de la Gestapo et devenir des martyrs de guerre.
Tourné dans les rues de Rome peu après sa libération et dans des conditions précaires, le film fait date pour s’être arraché aux conventions cinématographiques et avoir lancé, en même temps que Sciuscià de Vittorio De Sica, le mouvement du néoréalisme italien.