Cinéma

Films de danse

Sélection de films soutenus dans le cadre du dispositif d’Aide à la production des films de danse Ministère de la Culture - Direction générale de la création artistique – Délégation à la danse

Alice in wonder – Alice au pays de Laurent GOLDRING (2020, 12 min.)
Adaptation très libre de Lewis Carroll, le film parle des transformations du corps et des identités multiples. Il utilise une technique nouvelle de dessin en création continue projeté sur une performance. Le corps de Louise Lecavalier, qui joue tous les rôles, devient un dessin, et le dessin se met à danser, Jonathan Capdevielle qui fait toutes les voix l’accompagne en direct.

JOTR de David MAMBOUCH (2020, 40 min.)
Ce film prend appui sur la pièce Janet on the roof de Pierre Pontvianne, spectacle dans lequel un mur noir long de sept mètres pour deux mètres de hauteur se rapproche lentement tout au long du spectacle, du fond de la scène où on le distingue à peine d’abord, jusqu’à l’avant- scène, où il prendra  la place de la soliste. Ce lent et subtil amenuisement de l’espace mène à l’anéantissement de l’être qui, jusque-là, dansait devant nous. « Il s’agit donc pour moi de capter, par l’image de cinéma  d’un corps qui bientôt ne sera plus...

Tes jambes nues de Vladimir LÉON (2021, 1h10)
Tes jambes nues, documentaire dansé » a pour point de départ une pièce in situ créée en 2020 par Julie Desprairies, Tes jambes nues, autrement, réactivée et prolongée par ses interprètes lors d’un laboratoire de recherche chorégraphique à l’automne 2021. Le réalisateur Vladimir Léon met au cœur de ce film la danse, la musique, la poésie et une ferme, La Ferme Tournesol, lovée dans une vallée cœur du Trièves en Isère.

Éternelle jeunesse @Valence de Christophe HALEB (2020, 50 min.)
Coproduit par LUX lors de la première année d’association de Christophe Haleb, le film offre une cartographie des forces de la jeunesse et des manières d’appréhender le monde dans lequel ils grandissent, et surtout leurs envies de le changer ou d’en construire un nouveau, L’écriture chorale et contextuelle d’Éternelle jeunesse est une architecture fabriquée de langages divers, de gestes et de mouvements, de dynamiques, d’es- prits vifs, d’incertitudes.

Sur le pont d’Avignon, on y chante, on y danse / Diffusion en continu dans le hall de LUX
1 série de 9 films de 3 à 5 minutes écrite par Julie Charrier réalisée par Jean-Dominique Ferrucci. Julie Charrier a invité 9 chorégraphes à composer une danse sur le pont pour la caméra et 9 auteur·e·s composit·rices·eurs à décliner en studio (ou en live) la chanson à leur manière. Tou·te·s ces artistes ont une histoire avec Avignon, la ville ou le Festival.

Durée : environ 3h