Une sale histoire
Un homme raconte devant une assemblée essentiellement composée de femmes, qu’il a découvert, dans le sous-sol d’un café parisien, un trou tout en bas de la porte des toilettes pour dames. La même histoire que celle racontée par Michaël Lonsdale est raconté à nouveau cette fois par celui qui l’a vécu lui-même, Jean-Noël Picq, version documentaire.
« Cette sale histoire, je voulais la faire depuis des années (…) j’ai trouvé que la seule façon de faire ce film c’était le récit, filmer le type qui raconte l’histoire. C’est le film impossible à faire, je le déclare impossible. J’essaie de l’écrire, et je ne le peux pas, donc je la fais raconter. J’ai inclus ma préoccupation et ma recherche dans le film. » Jean Eustache